La publicité est un outil qui décrit la société
de nos temps.Ca décrit nos pensée et nos jugements mais la publicité n’est pas
une vérité mais c’est un mensonge humain qui se forme de nos préjuges et les
stéréotypes. Le publicitaire se profite des stéréotypes pour nous faire réagir
et nous manipule. Le premier texte est un texte retiré du
roman : « 99 francs » par Frédéric Beigbeder et Le deuxième
texte est un texte de Jean Serge Baribeau d’où le nom du roman
est « Bonheur insoutenable et merveilleux malheur ».En lisant
ces deux textes on ne peut pas arrêter de demander : Comment le
publicitaire et les consommateurs sont-ils présentés dans le texte ? Dans
un premier temps, nous allons voir la supériorité du publicitaire dans les deux
textes puis nous traiterons le consommateur est une victime du publicitaire
dans un deuxième temps.
Premièrement, les deux textes mettent en
évidence les privilèges et la supériorité des publicitaires mais le premier
texte est très subjective par contre le deuxième texte est objective. On a remarqué
cela par les choix linguistiques de Frédéric Beigbeder : la tonalité, les
pronoms à la première personne de singulier, les choix du vocabulaire et l’évolution
dégradante au sens péjoratifs dans le texte. La tonalité de l’auteur est
agressive : « je pollue l’univers ».Cela montre sont
agressivité car il utilise l’hyperbole et montre à quelle point les
publicitaires ne veulent pas du bien pour les gens. Les pronoms a la première
personne montre au lecteur que Octave veut s’imposer ses opinions et ses choix
sur les consommateurs : « Votre désir ne vous appartient
plus : je vous impose le mien ».Les choix du vocabulaire mettre en
valeur son puissance et son influence : « Vous faire baver, tel
est mon sacerdoce » Il nous salie et lui-même est sale. Nous somme le
résultat de ses manipulations. L’évolution dégradante du texte fait que la
subjectivité de Beigbeder soit de plus en plus apparente. Dans le premier
paragraphe du premier texte, il nous fait consommer des produits dont on n’a
pas besoins : « Je vous drogue à la nouveauté, et l’avantage
avec la nouveauté, c’est qu’elle ne reste jamais neuve. » Puis dans le deuxième
paragraphe, il contant de notre souffrance et nos dépenses qui lui portent de
l’argent : « Votre souffrance dope le commerce. » et
« Il faut attiser la jalousie, la douleur, l’inassouvissement : telle
sont mes munitions. » Dans le troisième paragraphe, il acquit notre
attention : « Ou que vous posiez les yeux, trône ma publicité
[…] je vous empêche de penser » Il est partout tous. Dans le quatrième
paragraphe, il est dans nos têtes : « Mmm, c’est si bon de pénétrer dans votre cerveau. »
L’auteur utilise l’hyperbole pour que
les lecteurs soit terrifier a quelle point
la publicitaire nous influence.
Il n’a plus besoins d’avoir notre attention, ni de nous faire souffrir, ni faire consommer des produits dont on n’a pas
besoin.
Par contre, l’autre texte de Baribeau est objectif
et informative. Premièrement, il ne donne pas son opinion directement au lecteur mais il donne des
exemples « de nombreux analystes de la publicité ».Dès le début du
texte il met en évidence la supériorité du publicitaire : « Il
existe une perception assez méprisante du consommateur chez les
publicitaires » Le tonalite du texte est informative. Baribeau
cite : « « Vous savez, chez Procter, on a une
diction : Ne prenez pas les gens pour des cons, mais n’oubliez jamais
qu’ils le sont ». » Tous est dans le message implicite du texte.
L’auteur décrit la thèse de Noam Chomsky
pour montrer son opinion : « Naom Chomsky qui considère que la société
états-unienne (et ce serait vrai pour bien d’autres sociétés) comporte, en gros,
deux grands sous-groupes. Il y aurait
d’abord 20% de la population (ou à peu près) qui constituerait l’Elite.
À ce groupe on proposerait plein de privilèges de même qu’une bonne instruction
et de bonnes connaissances .Quant au deuxième sous-groupe (à peu près 80% de la
population), on lui proposerait les sports-spectacles, le loisir, le
divertissement, l’entertainement, le cinéma facile, les magazines et
journaux simplistes et simplificateurs, la télévision exigeant peu d’efforts et
le bonheur dans la consommation. » Ce qu’on peut retirer du texte que la société
serait divisée en deux parties. Une serait très manipuler et l’autre est
isoler. Les énumérations permettent de
montrer à quel point le deuxième sous-groupe serait mis en arrière et il ne
recevrait que des choses poubelle ou « de la merde ». Les élites sont
les privilégies, on peut déduire qui seront les publicitaire ou d’autres
personnes qui vont profiter des 80%.
Deuxièmement, Beigbeder présente les
consommateurs comme des êtres inferieur au
publicitaire. Il veut nous réveiller
et qu’on sache l’influence négative et inévitable des publicités qu’on
voit chaque jour dans les rues, la télévision et etc…On paye ces
vacances : « J’interromps vos films a la télé pour imposer mes
logos et on me paye des vacances à Saint-Barth ou Lamu ou Phuket ou Lascabanes
(Quercy). »Cette énumération montre la supériorité du publicitaire face au
consommateur et son sadisme qui se profite de notre souffrance. Les
consommateurs ne prennent pas des choix mais c’est lui. Les consommateurs sont
si bêtes qu’il choisit pour eux : « Je vous drogue à la
nouveauté », « Le terrorisme de la nouveauté me sert à vendre du vide. » et « je vous empêche de
penser » il utilise l’hyperbole pour montrer le vide est les tètes des consommateurs.
Il se prétend comme un être suprême car il est le porteur de bonheur, il c’est
tous et il est partout : « Ciel toujours bleu, nanas jamais moches,
un bonheur parfait, retouché sur Photoshop. Images léchées, musiques dans le
vent. Quand, à force d’économies, vous réussirez à vous payer la bagnole de vos
rêves » et « je décrète ce qui est Vrai, ce qui est Beau,ce qui Bien ».Cette énumération montre suprême
car tous religion dans le monde défend ce qui est vrai, bien et beau et en plus
c’est en capital cela permet que l’idée soit visible. « L’hédonisme
n’est pas un humanisme » c’est comme un prêtre qui nous donne une leçon
morale que le plaisir n’est pas un humanisme. C’est une allégorie des mœurs des
êtres humains que nous cherchons notre plaisir mais on ne cherche pas les
plaisirs des autres.
En effet, le deuxième texte est compose deux
paragraphes égale et le registre est formel. L’opinion de l’auteur visible mais
pas comme le premier texte : « Selon Chomsky, il y aurait une
tentative permanente de « crétinisation » de la majorité et la publicité
serait l’un des nombreux outils utilisés pour parvenir à cette fin. » Il
veut montrer que le but du publicitaire est de rendre les consommateurs
imbéciles. Cela permette au lecteur d’être conscient de la manipulation du
publicitaire. «Se pourrait-il qu’il y ait, chez beaucoup de
publicitaires, un rêve de « twitisation », de crétinisation ou
d’abrutissement de la population ? »L’auteur s’adresse aux lecteurs
sous forme de questionnement pour que le message ne soit pas direct. Le titre
du texte est Bonheur insoutenable et merveilleux malheur. Ce titre
contient un oxymore qui est « merveilleux malheur » sa montre le
sarcasme qu’a quelle point les consommateurs serait si bête qu’il ne réalise
pas comme ils sont malheureux. Selon Jean –Serge Baribeau, la vision des
publicitaires sur leurs victimes est qu’ils sont de « deux
pique », des rêveurs « de « twitisation », de
crétinisation ou d’abrutissement de la population ? ».Ils sont
des imbéciles, des idiots, des personnes insignifiantes, importantes et
stupides. Les publicitaires selon Baribeau veulent avoir une très grande
influence sur les esprits des consommateurs qui sont tous les êtres humains et
les consommateurs dépendront sur la consommation comme la drogue. La domination
des publicitaires et « la crétinisation » serait « une tentative
permanente ».
Finalement, on peut conclure que le regard du
publicitaire envers ses victimes les consommateurs est négatif. Les deux textes
sont diffèrent au sujet de la forme, la tonalité et que le premier texte de
Beigbeder est subjectif par contre le deuxième texte est objectif. Le publicitaire est un être dominateur et
manipulateur. Est-ce la thèse sociologique de Naom Chomsky peut être réalisé et
que le monde soit à peu-près divisée en deux partie ?
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