Monday, January 6, 2014

la publicite est un outil de manipulation



La publicité est un outil qui décrit la société de nos temps.Ca décrit nos pensée et nos jugements mais la publicité n’est pas une vérité mais c’est un mensonge humain qui se forme de nos préjuges et les stéréotypes. Le publicitaire se profite des stéréotypes pour nous faire réagir et nous manipule. Le premier texte est un texte retiré du roman : « 99 francs » par Frédéric Beigbeder et Le deuxième texte est un texte de Jean Serge Baribeau d’où le nom du roman est « Bonheur insoutenable et merveilleux malheur ».En lisant ces deux textes on ne peut pas arrêter de demander : Comment le publicitaire et les consommateurs sont-ils présentés dans le texte ? Dans un premier temps, nous allons voir la supériorité du publicitaire dans les deux textes puis nous traiterons le consommateur est une victime du publicitaire dans un deuxième temps.
Premièrement, les deux textes mettent en évidence les privilèges et la supériorité des publicitaires mais le premier texte est très subjective par contre le deuxième texte est objective. On a remarqué cela par les choix linguistiques de Frédéric Beigbeder : la tonalité, les pronoms à la première personne de singulier, les choix du vocabulaire et l’évolution dégradante au sens péjoratifs dans le texte. La tonalité de l’auteur est agressive : « je pollue l’univers ».Cela montre sont agressivité car il utilise l’hyperbole et montre à quelle point les publicitaires ne veulent pas du bien pour les gens. Les pronoms a la première personne montre au lecteur que Octave veut s’imposer ses opinions et ses choix sur les consommateurs : « Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien ».Les choix du vocabulaire mettre en valeur son puissance et son influence : « Vous faire baver, tel est mon sacerdoce » Il nous salie et lui-même est sale. Nous somme le résultat de ses manipulations. L’évolution dégradante du texte fait que la subjectivité de Beigbeder soit de plus en plus apparente. Dans le premier paragraphe du premier texte, il nous fait consommer des produits dont on n’a pas besoins : « Je vous drogue à la nouveauté, et l’avantage avec la nouveauté, c’est qu’elle ne reste jamais neuve. » Puis dans le deuxième paragraphe, il contant de notre souffrance et nos dépenses qui lui portent de l’argent : « Votre souffrance dope le commerce. » et « Il faut attiser la jalousie, la douleur, l’inassouvissement : telle sont mes munitions. » Dans le troisième paragraphe, il acquit notre attention : « Ou que vous posiez les yeux, trône ma publicité […] je vous empêche de penser » Il est partout tous. Dans le quatrième paragraphe, il est dans nos têtes : « Mmm, c’est si bon  de pénétrer dans votre cerveau. » L’auteur  utilise l’hyperbole pour que les lecteurs soit terrifier a quelle point  la  publicitaire nous influence. Il n’a plus besoins d’avoir notre attention, ni de nous faire souffrir, ni  faire consommer des produits dont on n’a pas besoin.
Par contre, l’autre texte de Baribeau est objectif et informative. Premièrement, il ne donne pas son opinion  directement au lecteur mais il donne des exemples « de nombreux analystes de la publicité ».Dès le début du texte il met en évidence la supériorité du publicitaire : « Il existe une perception assez méprisante du consommateur chez les publicitaires » Le tonalite du texte est informative. Baribeau cite : « « Vous savez, chez Procter, on a une diction : Ne prenez pas les gens pour des cons, mais n’oubliez jamais qu’ils le sont ». » Tous est dans le message implicite du texte. L’auteur décrit la thèse de  Noam Chomsky pour montrer son opinion : « Naom Chomsky qui considère que la société états-unienne (et ce serait vrai pour bien d’autres sociétés) comporte, en gros, deux grands sous-groupes. Il y aurait  d’abord 20% de la population (ou à peu près) qui constituerait l’Elite. À ce groupe on proposerait plein de privilèges de même qu’une bonne instruction et de bonnes connaissances .Quant au deuxième sous-groupe (à peu près 80% de la population), on lui proposerait les sports-spectacles, le loisir, le divertissement, l’entertainement, le cinéma facile, les magazines et journaux simplistes et simplificateurs, la télévision exigeant peu d’efforts et le bonheur dans la consommation. » Ce qu’on peut retirer du texte que la société serait divisée en deux parties. Une serait très manipuler et l’autre est isoler. Les énumérations  permettent de montrer à quel point le deuxième sous-groupe serait mis en arrière et il ne recevrait que des choses poubelle ou « de la merde ». Les élites sont les privilégies, on peut déduire qui seront les publicitaire ou d’autres personnes qui vont profiter des 80%.
Deuxièmement, Beigbeder présente les consommateurs comme des êtres inferieur au  publicitaire. Il veut nous réveiller  et qu’on sache l’influence négative et inévitable des publicités qu’on voit chaque jour dans les rues, la télévision et etc…On paye ces vacances : « J’interromps vos films a la télé pour imposer mes logos et on me paye des vacances à Saint-Barth ou Lamu ou Phuket ou Lascabanes (Quercy). »Cette énumération montre la supériorité du publicitaire face au consommateur et son sadisme qui se profite de notre souffrance. Les consommateurs ne prennent pas des choix mais c’est lui. Les consommateurs sont si bêtes qu’il choisit pour eux : « Je vous drogue à la nouveauté », « Le terrorisme de la nouveauté  me sert à vendre du vide. »  et « je vous empêche de penser » il utilise l’hyperbole pour montrer le vide est les tètes des consommateurs. Il se prétend comme un être suprême car il est le porteur de bonheur, il c’est tous et il est partout : « Ciel toujours bleu, nanas jamais moches, un bonheur parfait, retouché sur Photoshop. Images léchées, musiques dans le vent. Quand, à force d’économies, vous réussirez à vous payer la bagnole de vos rêves » et « je décrète ce qui est Vrai, ce qui est Beau,ce qui  Bien ».Cette énumération montre suprême car tous religion dans le monde défend ce qui est vrai, bien et beau et en plus c’est en capital cela permet que l’idée soit visible. « L’hédonisme n’est pas un humanisme » c’est comme un prêtre qui nous donne une leçon morale que le plaisir n’est pas un humanisme. C’est une allégorie des mœurs des êtres humains que nous cherchons notre plaisir mais on ne cherche pas les plaisirs des autres.
En effet, le deuxième texte est compose deux paragraphes égale et le registre est formel. L’opinion de l’auteur visible mais pas comme le premier texte : « Selon Chomsky, il y aurait une tentative permanente de « crétinisation » de la majorité et la publicité serait l’un des nombreux outils utilisés pour parvenir à cette fin. » Il veut montrer que le but du publicitaire est de rendre les consommateurs imbéciles. Cela permette au lecteur d’être conscient de la manipulation du publicitaire. «Se pourrait-il qu’il y ait, chez beaucoup de publicitaires, un rêve de « twitisation », de crétinisation ou d’abrutissement de la population ? »L’auteur s’adresse aux lecteurs sous forme de questionnement pour que le message ne soit pas direct. Le titre du texte est Bonheur insoutenable et merveilleux malheur. Ce titre contient un oxymore qui est « merveilleux malheur » sa montre le sarcasme qu’a quelle point les consommateurs serait si bête qu’il ne réalise pas comme ils sont malheureux. Selon Jean –Serge Baribeau, la vision des publicitaires sur leurs victimes est qu’ils sont de « deux pique », des rêveurs « de « twitisation », de crétinisation ou d’abrutissement de la population ? ».Ils sont des imbéciles, des idiots, des personnes insignifiantes, importantes et stupides. Les publicitaires selon Baribeau veulent avoir une très grande influence sur les esprits des consommateurs qui sont tous les êtres humains et les consommateurs dépendront sur la consommation comme la drogue. La domination des publicitaires et « la crétinisation » serait « une tentative permanente ».
Finalement, on peut conclure que le regard du publicitaire envers ses victimes les consommateurs est négatif. Les deux textes sont diffèrent au sujet de la forme, la tonalité et que le premier texte de Beigbeder est subjectif par contre le deuxième texte est objectif.  Le publicitaire est un être dominateur et manipulateur. Est-ce la thèse sociologique de Naom Chomsky peut être réalisé et que le monde soit à peu-près divisée en deux partie ?

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