2eme partie:la langue et communication de masse.

 La femme l'avenir de l'homme

La publicité généralement est un moyen qui fait que l’être vivant devient cupide et egocentrique d’autant plus qu’elle attire l’attention des consommateurs pour acheter des produits dont ils n’ont pas besoin.la publicité nous affecte de plusieurs manières qu’elle soit directe ou indirecte. En effet, le sexisme est la discrimination envers les femmes. Les deux textes ont le même but qui est de cesser de présenter des publicités sexistes. Comment les publicitaires interprètent les cliches spécialement sur les femmes dans les pubs que l’on voit chaque jour ? Tous au long du texte, j’aborderai les points suivants : 1. Stéréotypes 2. Discrimination 3. Message Commençons par introduire les deux textes à ce sujet, le premier texte est une charte de B.V.P qui un extrait de la recommandation sur l’image de la personne humaine. Le texte est rédiger le octobre en 2001.Ce document discute les faits des interprétations des images qui précisent des stéréotypes négatifs pour le bénéfice du publicitaire et le producteur qui amènent à la violence morale. Le deuxième texte est extrait de voyage agence havas annonce la reproduction de la publicité de www.lameute.fr. Non seulement, il demande de l’échanger autant qu’il démontre le non –respect des consommateurs et le publicitaire du pub. En premier lieu, le premier thème traité dans le texte est le stéréotype. L’auteur du premier texte écrit d’une manière formelle autant que l’autre écrit son opinion de manière critique sans l’utilisation du premier pronom personnelle. Dans le premier texte, l’auteur démontre des points qui dénoncent l’image d’un individu appartenant à un certain groupe sociale. On rédige ses points suivants : » la publicité ne doit pas réduire la personne humaine, et en particulier la femme, a la fonction d’un objet. » Le recommandeur veut signaler au leur lecteur que le sexe féminin est dans la plupart du temps présentée comme le sexe qui a moins d’importance par contre que c’est l’Egalite. »La publicité ne doit pas cautionner l’idée de l’infériorité d’un personnage en raison de son appartenance à un groupe social, notamment en réduisant son rôle et ses responsabilités dans la société »le prosateur souligne son opinion argumentative sur le sujet que aucun individu convenant à un groupe définis sera représenter d’une façon ironique et inacceptable, par exemple : les stéréotypes racistes et celle d’une blonde. La femme est responsable de ses enfants et le future d’une génération force de cette raison à une infinité de points. Au même degré que le premier texte, le deuxième a le même message rapporté au thème, le stéréotype mais spécifiquement au « cliches sur les belles-mères autoritaires et emmerdeuses sont fréquents dans la culture machiste, alors qu’il n’est jamais question des beaux-pères. »En plus, le journaliste montre le slogan du pub : »Débarrassez –vous de votre belle-mère » dont il le répète trois fois toute au long du texte au tant qu’il réfère au thème du cliche publicitaire qui met l’auteur furieux de l’interprétation d’une telle image sexiste qui fait « un appel à la violence, disproportionne avec une invitation à partir un week-end. » En deuxième lieu, le premier texte est plus organise que l’autre autant que le deuxième est un texte d’internet qui a pris la permission du site de la pub. Commençons par la haine du fondateur du texte critique sur la discrimination générale qui est le deuxième. L’auteur commence l’introduction du l’extrait par décrire la publicité dépeindrait en détaille le portrait d’une vielle femme dans le pub électronique de la compagnie Havas voyages .Il termine son introduction par ses mot suivants : « il s’agit de la publicité pour un week-end bon a marche à Bruxelles. »L’écrivain du l’article décrit une femme dégoutant puis dire une phrase simple comme celle-ci démontre le sarcasme du critique. Voyons l’ironie de l’auteur montre son désaccord. Le texte A aussi incite sur la mémé point mais sans concentre a un groupe sociale. La charte de B.V.P dénonce que »la publicité ne doit pas être susceptible de heurter la sensibilité, choquer ou mémé provoquer le public en propageant une image de la personne portant atteinte à sa dignité et a décence. » Utilisons la pub du débarrassèrent de la belle-mère comme un exemple qui a fait de choquer le rédacteur autant un lecteur du pub. Ce sentiment est élaboré dans son texte, par ses interrogations suivantes : « Qu’est-ce que cela signifie ? […]Qui a pu avoir cette idée aussi infâme pour la dignité de la femme, quel son âge ? Qui a pu manquer de cœur à ce point ? ».En plus les points de la charte montrant contre la discrimination. « D’une façon générale, toute représentation dégradante ou humiliante de la personne humaine, explicite ou implicite, est exclue notamment au travers de qualificatifs, d’attitudes, de postures, de gestes, de sons, etc. attentatoires à la dignité humaine. »L’association évite des humiliations à chaque être humain supportant un groupe social car c’est d’irrespect à lui, l’individu. C’est une forme discrimination sexuel, rôle, âge et etc. L’exemple de la pub de la belle-mère : « tète d’une femme d’une soixantaine d’années, au cou plein de rides, au visage marque ; elle ne sourit pas, son regard est sévère »Cette pub donne au lecteur par son langage du corps une image dégoutant. À ce point, elle n’affirme pas les résolutions des points par l’association des professionnels pour une publicité responsable, aussi, justifier par le deuxième texte : »c’est le non-respect de la personne » En troisième lieu, les deux textes démontrent le même message. Le message est arrêter l’interprétation des clichés dans les pubs car elle résulte « la violence que celle si soit morale ou physique ».Cette violence vient par des images de discrimination, de dignité, de stéréotype, dépendance spécialement les femmes car c’est l’idée la plus justifier dans les deux textes : l’affaire de la belle mère et la répétition de « en particulier la femme ».La publicité ne doit, en cas ,par ses messages ,ses déclarations ou sa présentation banaliser la violence » c’une point du texte qui affirme le message précédemment expliquer autant le texte B expriment que le pub est insulte et le message dans la pub est qu’une mensonge. On disant : « Dans la réalité, il existe des femmes plus âgées et moins maigres que les mannequins toutes jeunes et filiformes montrées habituellement dans les publicités. Dans la réalité, il existe des millions de femmes qui rendent d’immenses services à leurs enfants […] Toutes ces femmes et leurs familles sont insultées par une publicité aussi sexiste. » Bref, les deux auteurs ne supporte pas l’usage des idées stéréotypes mais exclusivement a un rapport avec les femmes âgée qui peut résulter la violence morale ou physique. Les deux créateurs des deux textes sont accords à l’interdiction de ce genre de pub. Les publicités ont des messages qui sauvegarde l’infériorité, dépendance, la décence, des stéréotypes a un certain groupe sociale spécifiquement les femmes. Comment d’autre forme outils informative utilise des images stéréotypes d’un certain groupe sociale pour leur propre intérêt ?

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