partie 1:langue dans un contexte culturelle

La femme l'avenir de l'homme

 La femme est un être séducteur, destructeur et éduquant des générations. Dans les deux textes, les auteurs abordent le thème de la femme. Elles sont les mères, les étudiantes, les filles mais aussi les prostituées et les esclaves des plaisirs des hommes. Le premier texte est un récit d’un essai : Essais et réflexions sur le monde moderne par Marguerite Yourcenar en 1975.Tandit le deuxième texte est un poème intitulé la femme est l’avenir de l’homme par Jean Ferrat en 1970.Nous allons développer tout au long du texte le thème de la femme tantôt féministe tantôt insignifiante. En premier lieu, Marguerite Yourcenar décrit la femme d’une manière contradictoire avec un ton catégorique. Par exemple, elle explique ses convictions avec franchise et sincérité : « tout gain obtenue par la femme dans la cause des droits civiques ».Elle présente des images complètements opposées : une femme combattante et active selon l’auteur : « la femme peut être plus à même de se charger de ce rôle que l’homme » autant quelle dénonce l’attitude de l’homme de nature autoritaire envers sa femme : « La femme semble aspirer à la liberté et au bonheur du bureaucrate » est une hyperbole. Elle interprète les effets des figures de style pour accentuer les émotions du lecteur afin de le faire réagir. La femme peinte par l’auteur est l’activiste politique et l’éco citoyenne, en plus, elle est consciente de la nature humaine et les évènements actuels. Cette image apparait au début du texte par les faits répétitifs. La progression du texte est descendante : elle passe du positif au négatif. Passons à présent au deuxième texte qui est présenté sous forme de poème lyrique. En effet, Jean Ferrat attaque les sexistes. Pour soutenir les droits de la femme, il accumule les idées sur la femme frustrée, ignorée et soumise : « les hommes font les lois ».Notre poète joue sur les émotions des lecteurs par des figures du style, par sa tonalité et la progression du texte. Commençons par les figures du style : « Le poète a toujours raison qui voit plus haut que l’horizon » est une métaphore, il présente le poète comme un explorateur et un voyageur cherchant la vérité et qui a toujours raison donc on le croirait un avant-gardiste, il voit ce que les autres ne remarquent pas. « Le futur est son royaume » est une hyperbole qui met en valeur le point discuté plus haut qui élargit la pensée du lecteur. « L’ancien et le nouveau » est un oxymore soulignant l’idée de contradiction entre les valeurs du passe, du présent et du futur. «Le poète a toujours raison » et « déclare avec Aragon, la femme est l’avenir de l’homme » est répète plusieurs pour donner plusieurs effets. La répétions fait que les lecteurs ne hésite pas à se questionner sur les droits de la femme car ses lui qui voit plus haut que l’horizon. Selon le poète, elle, la femme est le futur et elle a droit à cela. Ensuite par la tonalité, l’auteur a un ton plutôt tragique. Cette tonalité est apparente tous au long du texte a l’aide de la répétition pour montrer la souffrance de la femme dès l’homme est sur terre. La progression du texte est sous une forme décadente car il commence par présenter la femme souffrir puis avec le temps, elle devient plus libre et forte qu’avant. En deuxième lieu, on rend conscient que l’auteur du premier texte est une femme, par contre, dans le deuxième texte c’est un homme. L’auteur du premier texte a des tendances féministes modérées. On déduit qu’elle est plutôt neutre. L’écrivain est une femme alors elle sait très la psychologie des femmes, contrairement à Jean Ferrat. Par exemple : « pour se conformer à la mode » est une hyperbole qui exagérée que les femmes de son temps ne sont pas vraiment consciente ni active sur le sujet (féminisme).Rappelons, l’essai est écrite en 1975.1975 est un temps que les femmes battent pour ses droits mais elles n’avaient pas achevées à prendre tous ses droits. Ce point est dénoncé par Yourcenar car elle montre une femme superficielle : « tout en offrant à leurs lectrices, qui les feuillettent distraitement chez le coiffeur, le même nombre de photographies de jolies filles, où plutôt de filles qui seraient jolies si elles n’incarnaient trop évidemment des modelés publicitaires ; la curieuse psychologie commerciale de notre temps ».Cette citation montre un autre exemple d’une femme légère et stupide qui ‘s’intéresse à la mode. En effet, elle n’est pas qui n’a pas un « contact journalier avec les réalités de la vie ». Autant, Le deuxième texte n’apparaisse pas neutre envers les attitudes sexistes. Le poète appelle aux lecteurs d’arrêter les stéréotypes envers les femmes : « l’image Eve et de la pomme ».D’après le compositeur, « il a fallu des millénaires » pour se battre pour ces droits. L’homme aussi fait des erreurs comme la femme, Adam avait le choix de résister la manipulation de la femme. L’auteur pour soutenir ces arguments, « il écrit déclare avec Aragon » à ce sujet, il montre qu’il n’est pas le seule. Louis Aragon est un poète surréaliste et long membre de la partie communiste en France. Le marxisme support les droits de la femme aussi le surréalisme est un mouvement avec des tendances anarchistes « ni Dieu, ni Mètre » alors il soutient tous forme de liberté celle de la femme, d’expression, de religion et d’idéologie. Ce qui étonnant, les deux hommes dénoncent les machistes alors ils sont des hommes. Pour soutenir ce point, Jean Ferrat est un auteur compositeur donc il est un artiste qui prend en considération ses émotions : la colère, la sympathie. Un artiste est un avant-gardiste, il voit plus haut que l’horizon. Bref, les deux auteurs interprètent des figures de styles, des tons, une certaine progression de texte et etc....L’auteur du premier texte est neutre alors que l’autre a une opinion opposante. La femme doit plus participer aux évènements politiques, sociaux et scientifiques car la vérité est dure. Elles ont acquis que peu.

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