Monday, January 13, 2014

Langue et identite d'apres Amin Maalouf

Amin Mallouf langue et identiteLangue maternelle est la langue d'ou on parle en premier.Le texte decrit la crise identitaire qui faire fasse au immgrant.Ceci est ce que l'auteur a vecu qu'il est moitie francais et moitie libanais.Aussi,l'exemple des russes dans la Grece

langue maternelle et identite

interview alain rey
 Alain Rey  pense que la langue maternelle est la langue qui nous permet d'exprimer spontanement  mais si on est des bilingues ou des trilingues.On peut exprimer nos idees par ces trois langues par la raison et la logique.Il soutient son argument par l'exemple du Cameron et un ecrivian Russe:

"L'identité langagière est dans la langue maternelle à tous les niveaux fondamentaux des réactions affectives ou sentimentales ... en revanche, quand il s'agit de raisonnements abstraits, de gestion, d'administration ... là, une autre langue peut prendre le relai".

"... C'est inéluctable. Par exemple il est absolument impossible que les 400 langues de Nouvelle-Guinée se maintiennent, si on veut que cette nation se développe ... "

Langue maternelle et identite

interview alain rey
 Alain Rey  pense que la langue maternelle est la langue qui nous permet d'exprimer spontanement  mais si on est des bilingues ou des trilingues.On peut exprimer nos idees par ces trois langues par la raison et la logique.Il soutient son argument par l'exemple du Cameron et un ecrivian Russe:

"L'identité langagière est dans la langue maternelle à tous les niveaux fondamentaux des réactions affectives ou sentimentales ... en revanche, quand il s'agit de raisonnements abstraits, de gestion, d'administration ... là, une autre langue peut prendre le relai".

"... C'est inéluctable. Par exemple il est absolument impossible que les 400 langues de Nouvelle-Guinée se maintiennent, si on veut que cette nation se développe ... "

Monday, January 6, 2014

L'amour impossible



L’amour peut apporter notre Bonheur ou notre tristesse mais ce qui sure est que l’amour nous change. L’amour non partagée apporte le désespoir si l’autre personne ne nous aperçoit pas comme on le désir. Si on est laid personne ne nous voit tel que nous sommes car les gens nous jugent sur notre apparence. Les deux textes que nous avons à analyser, décrivent la relation entre Quasimodo et Esméralda. Le premier texte est un extrait du roman Notre Dame de Paris en 1831 et le deuxième texte  est une chanson du spectacle musical Notre Dame de Paris en 1998. Après avoir lu les deux textes, nous ne pouvons pas nous empêcher  de nous questionner : Dans quelles mesures le contraste exposé entre la beauté et la laideur est-il mis en place dans les deux textes? Dans un premier temps, nous allons voir comment le thème de la beauté d’Esméralda est abordé. Puis, nous allons mettre en lumière comment la laideur de Quasimodo est mentionné dans les deux textes.
                 Premièrement, la beauté d’Esméralda est mise en relief dans les textes d’une manière opposante. Victor Hugo présente la beauté d’Esméralda d’une manière subtil : « On eut dit qu’il sentait que c’était une chose délicate, exquise et précieuse » cette répétition permet renforcer sa beauté car selon Quasimodo elle est si précieuse et si importante. En plus ce qui justifie l’importance d’Esméralda est la citation suivante : « comme son bien, comme son trésor, comme eut fait la mère de cette enfant ».C’est un parallélisme qui met en lumière une répartition lyrique. Ceci renforce la valeur qu’attribue Quasimodo a Esméralda tel que la beauté d’Esméralda. « On eut dit » justifie la subtilité de l’auteur par l’utilisation du pronom « On ». Victor Hugo expose à travers « une draperie blanche »  la personnalité d’Esméralda qu’elle pure, innocente, délicate, fragile et mince. Dans le deuxième texte, la chanson decrit d’une manière concerte et clair la beauté physique de la héroïne en contradiction avec le premier texte qui expose la beauté du caractère d’Esméralda. La beauté physique d’Esméralda peinte d’une manière lyrique car c’est une chanson : « Au fond de tes grands yeux noirs », c’est une description basée sur deux adjectifs qualificatifs, afin de décrire au plus possible ces yeux. De même, l’usage de l’adjectif «  brune » pour décrire la couleur de la peau de notre protagoniste, cela implique le fait qu’il attribue une vague importance à la description de tout détail physique d’Esméralda. Cette explication s’illustre bien a traves la présence  du champ lexicale de la beauté, illustré dans les expressions : « beau », «  rands yeux noirs », « belle ». Le premier texte est écrit en 1831, on peut prédire que ce texte était peut être un succès mais les lecteurs étaient choque ou ému par l’histoire car comment une si belle femme rentre en relation d'amitie avec un homme comme Quasimodo. Même dans la Belle et le Bête, le Bête redevient un prince charmant mais Quasimodo reste comme il est. Dans le deuxième texte,le public est plus ouvert d’esprit de plus la langue est familier contrairement au premier texte d’où la langue est plus soutenu.
          En effet, face à cette beauté pertinente d’Esméralda, on se trouve face à une admiration bien observée de la part de Quasimodo envers la charmante Esméralda. En effet, le premier texte, il s’avère que Quasimodo admire Esméralda : « Il tenait la jeune fille toute palpitante suspendue a ses mains comme une draperie blanche ; mais il la portait avec tant de précaution qu’il paraissant craindre de la briser ou de la faner »  Il la tenait comme un petit bébé avec admiration, tendresse et plein d’amour. « Faite pour d’autres mains que les siennes. » Il s’avait quelle n’est pas à lui mais ça n’empêche qu’il l’admire et désir de la protéger que ils se sentent au centre de la tension de toutes la foule qui se trouve à la place de Notre– Dame de Paris : « Alors les femmes riaient et pleuraient, la  foule trépignait d’enthousiasme, ».L’amour de Quasimodo envers Esméralda fait qu’il la protège contre cette foule : « Et puis c’était une chose touchante que cette protection tombée d’un être aussi difforme sur un être si malheureux, qu’une condamnée à mort sauvée par Quasimodo. » Cela renforce a quelle point il veut la protéger par prendre ce risque . Cela montre à quel point il aime Esméralda. « Son œil de gnome, abaisse sur elle, l’inondait de tendresse, de douleur et de pitié, et se relevait subitement plein d’éclairs. »C’est un parallélisme. La répétition du « de » permet au lecteur savoir que Quasimodo aide Esméralda sans attendre aucune chose d’elle car il sait bien qu’elle aime mais elle ne l’aime pas de la même façon. Il sent de la douleur car elle ne l’aime pas comme il désir et il sent de la pitié car  elle est « une condamnée à mort » Dans un deuxième texte, les sentiments de Quasimodo envers Esméralda est présente d’une manière directe malgré que dans le premier texte cette idée est claire mais implicite. Dans les deux derniers strophes de la chanson, on voit qu’il l’aime mais il se demande : « Comment pourrais-tu m’aimer » cette phrase exclamatif est la dernière vers dans la dernière strophe nous permet de repondre à cette question et prédire la fin. Même si Quasimodo est le protecteur d’Esméralda, elle ne va pas l’aime car il est laid mais elle est trop belle pour lui : « Moi si laid et toi si belle » c’est un oxymore qui dénonce a quelle mesure l’amour d’Esméralda et Quasimodo est irréelle et fantaisiste. On n’ignore pas que Esméralda est une victime de la société comme Quasimodo .Victor Hugo déclare que : « C’étaient les deux misères extrême de la nature et de la société qui se touchaient et qui s’entraidaient. » .La misère de la nature est Quasimodo et la misère de la société est Esméralda.Chacun a besoin de l'autre.

Deuxièmement, les deux textes développent la laideur de Quasimodo d’une manière différente. Victor Hugo ébauche la laideur de Quasimodo mais il la transfigure avec une beauté visible au lecteur. Cette visibilité n’est pas approuvée par les gens qui se trouve à Notre-Dame de Paris : « Ses larges pieds semblaient aussi solides sur le pave de l’église que les lourds piliers romans. Sa grosse tête chevelue s’enfonçait dans ses épaules comme celle des lions qui eux aussi ont une crinière et pas de cou. »La tonalité du texte est tragique renforce par le style originale de l’auteur.Le lecteur sent des sentiments d’ et de contradiction qui est justifie par l’oxymore car il dénonce que « Ses larges pieds », « Sa grosse tête » et « une crinière et pas de cou. » et même temps, le personnage est caractérisé par sa noblesse et solidité : « aussi solides sur la pave de l’église que les lourds piliers romans » c’est une comparaison qui nous permet de soulever la force et la solidité de Quasimodo et « comme celle des lions » est une comparaison qui nous justifie la noblesse de Quasimodo. Le narrateur est omniprésent ce qui permet au lecteur de juger la société qui est mentionné dans le texte. Victoire Hugo veut que le lecteur analyse cette société qui juge par l’apparence, une société qui ignore la personnalité de Quasimodo soulevé sa tendresse et son caractère protectrice. Hugo peigne le protagoniste d’une façon très claire par contre qu’il ne se focalise pas trop sur la beauté d’Esméralda. Le narrateur est brosse le portrait de Quasimodo qu’il est laid : « ses larges pieds », « sa grosse tête », « une crinière et pas de cou », « ses mains calleuses » et « son œil de gnome ».Dans le deuxième texte, la laideur de Quasimodo n’est pas présenté comme une laid beauté mais une laideur qui apporte sa tristesse tel que son désespoir. La tonalité du texte est lyrique-tragique. Cette laid beauté nuance par la comparaison entre lui et le lion qui est symbole de puissance et de noblesse et  c’est deux citation : « Quasimodo avait vraiment sa beauté » et « il se sentait auguste et fort ».Dans la plupart du texte, il compare lui-même avec Phoebus qui est aimé d’Esméralda : « Lui si beau et moi si laid », « Lui seigneur et moi vaurien », « aime ton beau cavalier ».Cette comparaison justifie au spectateur sa malheur tel que son désespoir. De plus, il cite que « Ma laideur est une insulte » C’est une hyperbole qui montre à quelle point il laid que ça laideur devient une insulte. Le fait que Quasimodo chante lui-même la chanson fait de lui un etre charmant et mettre en relief l’idée de la laideur beauté.
Par contre, le caractère de Quasimodo qui est plein de tendresse, de beauté, de force, de protection n’a pas fait que Esméralda l’aime car comme il est décrit dans les deux textes qu’il est laide. Le roman Notre Dame de Paris brise ou casse un cliche. Le cliche que la beauté et la laideur sont deux monde qui ne peuvent pas se rencontrer. Même si Esméralda aime Pheobus mais elle aime Quasimodo comme un ami. Elle n’a peur de lui ni elle l’irrespect comme la foule. C’est ne pas une conte ou le bonheur reste pour toujours ou Quasimodo va se changer au plus belle homme a Notre Dame de Paris. Esméralda ne le voit comme il désir mais elle l’aime comme même. Dans le premier texte, Esméralda n’est pas trop présenté dans le texte mais le rôle de l’héroïne reste important : « Il tenait la jeune fille toute palpitante suspendus à ses mains calleuses comme une draperie blanche ». « Une draperie blanche » peut se traduire de deux façon : la première manière est que ça montre la légèreté et l’innocence d’Esméralda et la deuxième façon quelle est comme une draperie blanche quelle est si fragilité si petite et si inconsciente  de l’amour de Quasimodo car une draperie blanche ne voit pas. Il veut la protéger et la caresser sans rien attendre d’elle et quelle n’est pas à lui : « mais il la portait avec tant de précaution qu’il paraissait craindre de la briser ou de la faner. On eut dit qu’il sentait que c’était une chose délicate, exquise et précieuse, faite pour d’autres mains que les siennes. Par moments, il avait l’air de n’oser la toucher, même du souffle. »C’est une métaphore, Esméralda est une vase si précieuse pour Quasimodo qu’il a peur que cette vase se casse ou se brise ou se faner. Peut-être Esméralda l’aime comme un ami mais les gens le déteste et l’irrespect : « il regardait en face cette société dont il était banni, et dans laquelle il intervenait si puissamment, cette justice humaine à laquelle il avait arraché sa proie, tous ces tigres forces de mâcher à vide, ces sbires. Ces juges, ces bourreaux, toute cette force du roi qu’il venait de briser, lui infirme avec la force de Dieu. »Ces gens qui veulent arrache ca peau et qui ne  lui veulent pas du bien. Il se profite de la douleur d’un si tendre autant fort comme Quasimodo. Dans le deuxième texte, il s’adresse à Esméralda mais elle ne l’entend pas  car elle ne répond pas. Il la demande si elle peut-être pour lui : « Je te donnerais la lune, Tu ne voudrais pas m’aimer ».Le deuxième texte mentionne Pheobus, l’amant d’Esméralda. Quasimodo est le narrateur qui s’exprime ses émotions. Ce point est justifié par l’utilisation des pronoms personnelles a la première personne : « je », « moi », « m’ », « ma », « me ». A partir sa comparaison avec l’amant de l’héroïne, on reconnaitre le malentendu d’Esméralda envers l’amour de Quasimodo : Tu lui donneras ton corps, Tu croiras a ses serments, Tu l’aimes pour le dehors, Sans savoir ce qu’il y a dedans » Luc Plamondon accumule le point qui était déjà exploitée dans le roman de Victor Hugo sur la société qui conte sur les apparences.
Finalement, on peut conclure plusieurs points après avoir analysé les deux textes en profondeur.la contradiction entre la beauté et la laideur est très aborderai dans les deux textes d’où le premier texte met en lumière l’importance d’Esméralda qui éprouve sa beauté et la laideur beauté de Quasimodo mais dans le deuxième texte présenté seulement la laideur de Quasimodo. Le premier aborde en plus la souffrance des protagonistes par contre Plamondon aborde la douleur de Quasimodo seulement. Le public de Luc Plamondon accepte plus l’idée de Victor Hugo que les lecteurs de Victor Hugo lui-même pendant la publication du roman. Bref, les deux textes présentent le même thème d’une manière distingué de l’un de l’autre.

la publicite est un outil de manipulation



La publicité est un outil qui décrit la société de nos temps.Ca décrit nos pensée et nos jugements mais la publicité n’est pas une vérité mais c’est un mensonge humain qui se forme de nos préjuges et les stéréotypes. Le publicitaire se profite des stéréotypes pour nous faire réagir et nous manipule. Le premier texte est un texte retiré du roman : « 99 francs » par Frédéric Beigbeder et Le deuxième texte est un texte de Jean Serge Baribeau d’où le nom du roman est « Bonheur insoutenable et merveilleux malheur ».En lisant ces deux textes on ne peut pas arrêter de demander : Comment le publicitaire et les consommateurs sont-ils présentés dans le texte ? Dans un premier temps, nous allons voir la supériorité du publicitaire dans les deux textes puis nous traiterons le consommateur est une victime du publicitaire dans un deuxième temps.
Premièrement, les deux textes mettent en évidence les privilèges et la supériorité des publicitaires mais le premier texte est très subjective par contre le deuxième texte est objective. On a remarqué cela par les choix linguistiques de Frédéric Beigbeder : la tonalité, les pronoms à la première personne de singulier, les choix du vocabulaire et l’évolution dégradante au sens péjoratifs dans le texte. La tonalité de l’auteur est agressive : « je pollue l’univers ».Cela montre sont agressivité car il utilise l’hyperbole et montre à quelle point les publicitaires ne veulent pas du bien pour les gens. Les pronoms a la première personne montre au lecteur que Octave veut s’imposer ses opinions et ses choix sur les consommateurs : « Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien ».Les choix du vocabulaire mettre en valeur son puissance et son influence : « Vous faire baver, tel est mon sacerdoce » Il nous salie et lui-même est sale. Nous somme le résultat de ses manipulations. L’évolution dégradante du texte fait que la subjectivité de Beigbeder soit de plus en plus apparente. Dans le premier paragraphe du premier texte, il nous fait consommer des produits dont on n’a pas besoins : « Je vous drogue à la nouveauté, et l’avantage avec la nouveauté, c’est qu’elle ne reste jamais neuve. » Puis dans le deuxième paragraphe, il contant de notre souffrance et nos dépenses qui lui portent de l’argent : « Votre souffrance dope le commerce. » et « Il faut attiser la jalousie, la douleur, l’inassouvissement : telle sont mes munitions. » Dans le troisième paragraphe, il acquit notre attention : « Ou que vous posiez les yeux, trône ma publicité […] je vous empêche de penser » Il est partout tous. Dans le quatrième paragraphe, il est dans nos têtes : « Mmm, c’est si bon  de pénétrer dans votre cerveau. » L’auteur  utilise l’hyperbole pour que les lecteurs soit terrifier a quelle point  la  publicitaire nous influence. Il n’a plus besoins d’avoir notre attention, ni de nous faire souffrir, ni  faire consommer des produits dont on n’a pas besoin.
Par contre, l’autre texte de Baribeau est objectif et informative. Premièrement, il ne donne pas son opinion  directement au lecteur mais il donne des exemples « de nombreux analystes de la publicité ».Dès le début du texte il met en évidence la supériorité du publicitaire : « Il existe une perception assez méprisante du consommateur chez les publicitaires » Le tonalite du texte est informative. Baribeau cite : « « Vous savez, chez Procter, on a une diction : Ne prenez pas les gens pour des cons, mais n’oubliez jamais qu’ils le sont ». » Tous est dans le message implicite du texte. L’auteur décrit la thèse de  Noam Chomsky pour montrer son opinion : « Naom Chomsky qui considère que la société états-unienne (et ce serait vrai pour bien d’autres sociétés) comporte, en gros, deux grands sous-groupes. Il y aurait  d’abord 20% de la population (ou à peu près) qui constituerait l’Elite. À ce groupe on proposerait plein de privilèges de même qu’une bonne instruction et de bonnes connaissances .Quant au deuxième sous-groupe (à peu près 80% de la population), on lui proposerait les sports-spectacles, le loisir, le divertissement, l’entertainement, le cinéma facile, les magazines et journaux simplistes et simplificateurs, la télévision exigeant peu d’efforts et le bonheur dans la consommation. » Ce qu’on peut retirer du texte que la société serait divisée en deux parties. Une serait très manipuler et l’autre est isoler. Les énumérations  permettent de montrer à quel point le deuxième sous-groupe serait mis en arrière et il ne recevrait que des choses poubelle ou « de la merde ». Les élites sont les privilégies, on peut déduire qui seront les publicitaire ou d’autres personnes qui vont profiter des 80%.
Deuxièmement, Beigbeder présente les consommateurs comme des êtres inferieur au  publicitaire. Il veut nous réveiller  et qu’on sache l’influence négative et inévitable des publicités qu’on voit chaque jour dans les rues, la télévision et etc…On paye ces vacances : « J’interromps vos films a la télé pour imposer mes logos et on me paye des vacances à Saint-Barth ou Lamu ou Phuket ou Lascabanes (Quercy). »Cette énumération montre la supériorité du publicitaire face au consommateur et son sadisme qui se profite de notre souffrance. Les consommateurs ne prennent pas des choix mais c’est lui. Les consommateurs sont si bêtes qu’il choisit pour eux : « Je vous drogue à la nouveauté », « Le terrorisme de la nouveauté  me sert à vendre du vide. »  et « je vous empêche de penser » il utilise l’hyperbole pour montrer le vide est les tètes des consommateurs. Il se prétend comme un être suprême car il est le porteur de bonheur, il c’est tous et il est partout : « Ciel toujours bleu, nanas jamais moches, un bonheur parfait, retouché sur Photoshop. Images léchées, musiques dans le vent. Quand, à force d’économies, vous réussirez à vous payer la bagnole de vos rêves » et « je décrète ce qui est Vrai, ce qui est Beau,ce qui  Bien ».Cette énumération montre suprême car tous religion dans le monde défend ce qui est vrai, bien et beau et en plus c’est en capital cela permet que l’idée soit visible. « L’hédonisme n’est pas un humanisme » c’est comme un prêtre qui nous donne une leçon morale que le plaisir n’est pas un humanisme. C’est une allégorie des mœurs des êtres humains que nous cherchons notre plaisir mais on ne cherche pas les plaisirs des autres.
En effet, le deuxième texte est compose deux paragraphes égale et le registre est formel. L’opinion de l’auteur visible mais pas comme le premier texte : « Selon Chomsky, il y aurait une tentative permanente de « crétinisation » de la majorité et la publicité serait l’un des nombreux outils utilisés pour parvenir à cette fin. » Il veut montrer que le but du publicitaire est de rendre les consommateurs imbéciles. Cela permette au lecteur d’être conscient de la manipulation du publicitaire. «Se pourrait-il qu’il y ait, chez beaucoup de publicitaires, un rêve de « twitisation », de crétinisation ou d’abrutissement de la population ? »L’auteur s’adresse aux lecteurs sous forme de questionnement pour que le message ne soit pas direct. Le titre du texte est Bonheur insoutenable et merveilleux malheur. Ce titre contient un oxymore qui est « merveilleux malheur » sa montre le sarcasme qu’a quelle point les consommateurs serait si bête qu’il ne réalise pas comme ils sont malheureux. Selon Jean –Serge Baribeau, la vision des publicitaires sur leurs victimes est qu’ils sont de « deux pique », des rêveurs « de « twitisation », de crétinisation ou d’abrutissement de la population ? ».Ils sont des imbéciles, des idiots, des personnes insignifiantes, importantes et stupides. Les publicitaires selon Baribeau veulent avoir une très grande influence sur les esprits des consommateurs qui sont tous les êtres humains et les consommateurs dépendront sur la consommation comme la drogue. La domination des publicitaires et « la crétinisation » serait « une tentative permanente ».
Finalement, on peut conclure que le regard du publicitaire envers ses victimes les consommateurs est négatif. Les deux textes sont diffèrent au sujet de la forme, la tonalité et que le premier texte de Beigbeder est subjectif par contre le deuxième texte est objectif.  Le publicitaire est un être dominateur et manipulateur. Est-ce la thèse sociologique de Naom Chomsky peut être réalisé et que le monde soit à peu-près divisée en deux partie ?