Wednesday, June 5, 2013

La langue francaise



La langue est un moyen de communication qui nous permet d’échanger des informations. Les deux auteurs  élaborent le même sujet : l’importance du français. Le premier texte est écrit par E. Legrand et fait  partie  de l’introduction dans Stylistique Française. Le  deuxième texte  ai rédigé par Sergio Kokis et c’est un extrait tire d’Autoportrait. L’appréciation de la langue française  change d’un individu à l’autre .Tout au long cette comparaison. Nous aborderons deux aspects : premièrement : comment la culture agit sur la maitrise de la langue ; deuxièmement : comment cette maitrise évolue avec le temps.
Au premier lieu, la culture est nos connaissances. Elle nous fait comprendre le monde et son fonctionnement. Sergio est « un natif du Brésil » donc  « le  français constitue pour lui une langue seconde ».Par contre, Legrand est un francophone tel que le dit son nom .Dès le début du extrait, il décrit le français comme  « notre langue ».De plus, L’auteur du  deuxième texte est un « psychologue, peintre et écrivain » .l’auteur n’a pas étudié la langue française sous un contexte littéraire et  linguistique. Sergio juge le français par la sonorité et le sens du mot  qui « ne sont pas dans le Robert ». Autant, dans le premier texte, l’auteur  est agrège d’une université cela veut dire qu’il non seulement connaisse la langue comme  étant un dialecte français  mais un professeur de langue à l’université.
Dans un autre ordre d’idée, le  français n’ai pas le sujet d’attention du  l’auteur  du deuxième texte.         Cet argument est prouvé dans ce texte : « Moins  propice à la poésie que des langues plus malléables et mélodieuses comme l’anglais ou le portugais du Brésil » .Au même degré,  l’auteur  du premier texte démontre son attention et son affection a la langue française. Prenons l’exemple : dans le premier paragraphe ; « notre langue », « français littéraire », « le français » et « notre belle langue ». L’auteur n’utilisé pas  des pronoms singulières : « il », « nos élèves », « leur », « la jeunesse », « vous » et etc. Autant dans le deuxième texte sur ce point, c’est un extrait personnel comme le dicte le nom du roman Autoportrait .L’auteur utilise le pronom premier singulier : « Je », « mon alter ego », « moi », « ma fenêtre », « m’obligeant» et « mes rêveries ».
En deuxième lieu, l’évolution de la langue est causée par plusieurs facteurs qui sont les suivants : technologique, le temps-siècle et le rythme de la vie .En effet, le premier texte a un ton didactique car il favorise la divulgation de l’enseignement. A ce sujet il s’adresse au système pédagogique : les professeurs et les enseigneurs de la langue française : « Notre belle langue semblerait-elle vouée à une irrémédiable décadence ? Non. C’est impossible » Le questionnement nous montre l’inquiétude de l’auteur sur le sujet : la disparition du français et les générations qui suivent « leur manque la notion exacte du français littéraire ».L’auteur du deuxième texte fait une partie de cette génération suivie. Rappelons, le premier extrait date : 1927 et le deuxième extrait date : 1995.On notera que le français de Sergio est tellement familier et vulgaire : « Tel le corps d’une femme trop pudique, cette langue exige beaucoup de ruse de la part d’un amant sensuel ».Ici, la langue est comparé à une femme. Autant, Legrand rédige l’extrait d’une manière formelle et soutenue : « Il a son vocabulaire a lui, nuance, riche, image brillant de couleur  jusque dans les termes abstraits ».La langue est décrit comme une gamme de couleur.
Ensuite, le ton du deuxième texte est comique, spécifiquement parodique. Son imitation d’un sujet sérieux comme celui d’une langue  aussi populaire comme le français. Prenons, l’exemple : « la française exige un doigte de contrebassiste et des lèvres taille pour le saxo », « la langue française est un peu vieillotte » et « comme un carcan”.  C’est 1995, Kokis est américanisé comme la plupart de sa génération après la troisième révolution industrielle (l’invention de l’internet). Ce point est démontré par ces exemples : « Des langues plus malléables et mélodieuses comme l’anglais » et « si le premier peut faire gémir aussitôt la langue française avec les accords d’un rap ».
De plus, avant de compter Kokis comme un écrivain. Prenez, conscience qu’il est un peintre donc il est quelqu’un qui aime s’exprimer et de recevoir des informations. Plus tôt, il ne décrit pas la réalité et il  ne soutenaient  pas sa thèse par des faits raisonnable et pratique. Après tout, l’’agrège de l’université est un peu près plus raisonnable par ces déclarations et des exemples : « Il a sa syntaxe a lui, lumineuse pour l’esprit, caressante pour l’oreille, pourvue d’un mécanisme simple autant ingénieux » et « prenez dans un milieu bourgeois un enfant d’une douzaine d’année… ».
En outre, l’enseigneur prend en considération l’opinion contradictoire par ces questions de temps en temps. L’exagération de l’auteur est extrêmement apparente par les figures de styles qui donnent des effets d’insistances. Prônons, l’exemple : « le possèderait-elle tout naturellement ? Non » et notre belle langue semblerait-elle vouée a une irrémédiable décadence ? Non ».
Tout au long du texte, il a utilisé des hyperboles et  des répétitions  mais a l’exception : « dressez l’inventaire de tous les mois qu’il emploie ».Cette expression peigne les mots que le jeune  homme utilise comme une femme qui se dresse pour être plus belle et vivace .Autant d’autre expression « lumineuse pour l’esprit » est une allégorie qui dépeindre les mots comme un individu qui  apprend et se comprend les effets des mots et des expression : « caressante pour l’oreille » est une personnification qui donne l’effet d’une voie d’une femme douce , « nuance ,riche, image, brillant de couleur » est une répétition qui justifie tous les figures qui se suivent.
Par contre, la langue française est représentée comme une femme moche : « Le corps d’une femme trop pudique » est une hyperbole il décrit quelle trop discrète équivalant à sa difficulté d’articuler. La femme timide aussi discrète rencontre des difficultés de prononciation comme elle est « ruse de la part d’un amant sensuel ». De plus, elle a « un doigte de contrebassiste » et « des lèvres taillées pour le saxo » est hyperbole pour montrer les difficultés  qu’on rencontre avec la langue française.
Bref, les deux extraits ont des points communs tels que différentes. Les points différentes sont le ton, les effets des figures de style, leur opinion aussi les raisons qui forme une  opposition entre les deux points suivantes : la culture et le temps. Un extrait date 1927 et l’autre en 1995.Les points commun est les présences des exemples, des figures stylique, les deux sont des extraits retirées par deux romans : Stylistique Française de E. Legrand qui est un agrège français de l’université et le second roman est Autoportrait de Sergio Kokis qui est un psychologue, peintre et un écrivain brésilien. Est-ce que les gens vont arrêter apprendre le français comme une langue de culture ?

No comments:

Post a Comment