La langue est un moyen de communication qui
nous permet d’échanger des informations. Les deux auteurs élaborent le même sujet : l’importance
du français. Le premier texte est écrit par E. Legrand et fait partie
de l’introduction dans Stylistique Française. Le deuxième texte ai rédigé par Sergio Kokis et c’est un
extrait tire d’Autoportrait. L’appréciation de la langue française change d’un individu à l’autre .Tout au
long cette comparaison. Nous aborderons deux aspects : premièrement :
comment la culture agit sur la maitrise de la langue ; deuxièmement :
comment cette maitrise évolue avec le temps.
Au premier lieu, la culture est nos
connaissances. Elle nous fait comprendre le monde et son fonctionnement. Sergio
est « un natif du Brésil » donc
« le français constitue pour
lui une langue seconde ».Par contre, Legrand est un francophone tel que le
dit son nom .Dès le début du extrait, il décrit le français comme « notre langue ».De plus, L’auteur
du deuxième texte est un « psychologue,
peintre et écrivain » .l’auteur n’a pas étudié la langue française sous un
contexte littéraire et linguistique.
Sergio juge le français par la sonorité et le sens du mot qui « ne sont pas dans le Robert ».
Autant, dans le premier texte, l’auteur
est agrège d’une université cela veut dire qu’il non seulement connaisse
la langue comme étant un dialecte
français mais un professeur de langue à
l’université.
Dans un autre ordre d’idée, le français n’ai pas le sujet d’attention du l’auteur du deuxième texte. Cet argument est prouvé dans ce texte : « Moins propice à la poésie que des langues plus
malléables et mélodieuses comme l’anglais ou le portugais du Brésil » .Au
même degré, l’auteur du premier texte démontre son attention et
son affection a la langue française. Prenons l’exemple : dans le premier
paragraphe ; « notre langue », « français
littéraire », « le français » et « notre belle langue ».
L’auteur n’utilisé pas des pronoms singulières :
« il », « nos
élèves », « leur », « la
jeunesse », « vous » et etc. Autant dans le deuxième texte
sur ce point, c’est un extrait personnel comme le dicte le nom du roman Autoportrait .L’auteur
utilise le pronom premier singulier : « Je », « mon alter
ego », « moi », « ma fenêtre »,
« m’obligeant» et « mes rêveries ».
En deuxième lieu, l’évolution de la langue est
causée par plusieurs facteurs qui sont les suivants : technologique, le
temps-siècle et le rythme de la vie .En effet, le premier texte a un ton
didactique car il favorise la divulgation de l’enseignement. A ce sujet il
s’adresse au système pédagogique : les professeurs et les enseigneurs de
la langue française : « Notre belle langue semblerait-elle vouée
à une irrémédiable décadence ? Non. C’est impossible » Le
questionnement nous montre l’inquiétude de l’auteur sur le sujet : la
disparition du français et les générations qui suivent « leur manque la
notion exacte du français littéraire ».L’auteur du deuxième texte fait une
partie de cette génération suivie. Rappelons, le premier extrait date : 1927
et le deuxième extrait date : 1995.On notera que le français de Sergio est
tellement familier et vulgaire : « Tel le corps d’une femme trop
pudique, cette langue exige beaucoup de ruse de la part d’un amant
sensuel ».Ici, la langue est comparé à une femme. Autant, Legrand rédige
l’extrait d’une manière formelle et soutenue : « Il a son
vocabulaire a lui, nuance, riche, image brillant de couleur jusque dans les termes abstraits ».La
langue est décrit comme une gamme de couleur.
Ensuite, le ton du deuxième texte est comique,
spécifiquement parodique. Son imitation d’un sujet sérieux comme celui d’une
langue aussi populaire comme le
français. Prenons, l’exemple : « la française exige un doigte de
contrebassiste et des lèvres taille pour le saxo », « la langue
française est un peu vieillotte » et « comme un carcan”. C’est 1995, Kokis est américanisé comme la
plupart de sa génération après la troisième révolution industrielle (l’invention
de l’internet). Ce point est démontré par ces exemples : « Des langues
plus malléables et mélodieuses comme l’anglais » et « si le premier
peut faire gémir aussitôt la langue française avec les accords d’un rap ».
De plus, avant de compter Kokis comme un écrivain.
Prenez, conscience qu’il est un peintre donc il est quelqu’un qui aime
s’exprimer et de recevoir des informations. Plus tôt, il ne décrit pas la réalité
et il ne soutenaient pas sa thèse par des faits raisonnable et
pratique. Après tout, l’’agrège de l’université est un peu près plus
raisonnable par ces déclarations et des exemples : « Il a sa
syntaxe a lui, lumineuse pour l’esprit, caressante pour l’oreille, pourvue d’un
mécanisme simple autant ingénieux » et « prenez dans un milieu
bourgeois un enfant d’une douzaine d’année… ».
En outre, l’enseigneur prend en considération
l’opinion contradictoire par ces questions de temps en temps. L’exagération de
l’auteur est extrêmement apparente par les figures de styles qui donnent des
effets d’insistances. Prônons, l’exemple : « le possèderait-elle
tout naturellement ? Non » et notre belle langue semblerait-elle
vouée a une irrémédiable décadence ? Non ».
Tout au long du texte, il a utilisé des
hyperboles et des répétitions mais a l’exception : « dressez
l’inventaire de tous les mois qu’il emploie ».Cette expression peigne les
mots que le jeune homme utilise comme
une femme qui se dresse pour être plus belle et vivace .Autant d’autre
expression « lumineuse pour l’esprit » est une allégorie qui
dépeindre les mots comme un individu qui
apprend et se comprend les effets des mots et des expression : « caressante
pour l’oreille » est une personnification qui donne l’effet d’une voie
d’une femme douce , « nuance ,riche, image, brillant de
couleur » est une répétition qui justifie tous les figures qui se suivent.
Par contre, la langue française est
représentée comme une femme moche : « Le corps d’une femme trop
pudique » est une hyperbole il décrit quelle trop discrète équivalant à sa
difficulté d’articuler. La femme timide aussi discrète rencontre des
difficultés de prononciation comme elle est « ruse de la part d’un amant
sensuel ». De plus, elle a « un doigte de contrebassiste »
et « des lèvres taillées pour le saxo » est hyperbole pour
montrer les difficultés qu’on rencontre
avec la langue française.
Bref, les deux extraits ont des points communs
tels que différentes. Les points différentes sont le ton, les effets des
figures de style, leur opinion aussi les raisons qui forme une opposition entre les deux points
suivantes : la culture et le temps. Un extrait date 1927 et l’autre en 1995.Les
points commun est les présences des exemples, des figures stylique, les deux
sont des extraits retirées par deux romans : Stylistique Française
de E. Legrand qui est un agrège français de l’université et le second roman est
Autoportrait de Sergio Kokis qui est un psychologue, peintre et
un écrivain brésilien. Est-ce que les gens vont arrêter apprendre le français
comme une langue de culture ?